Il s'agit des premières pages du livre Cahors, municipales 2014 : un enjeu départemental majeur de Stéphane Ternoise.
Qui pour battre "le fidèle" ?
Attentif depuis de nombreuses années à la scène politique lotoise, j’ai attendu... le Godot cadurcien...
Qui pour déloger le monsieur fidèle de la mairie ?
Rien, ni par l’observation ni par le retour suite à mes publications. Que Jean-Marc Vayssouze-Faure et ses proches ignorent mes écrits ne m’a jamais surpris... ils ont le pouvoir !... Qu’ils soient d’art ou de constats... mais rien chez les "opposants." Pas le temps de lire ? Pas l’envie ? Qui c’est ce Ternoise ?...
Cahors, 42 inscriptions aux Monuments Historiques / Maire de Cahors, député du Lot, conseiller général, le notaire oublié, bientôt liquidé de l’Histoire / Henri Martin du musée Henri-Martin de Cahors / La trahison des morts : les concessions à perpétuité discrètement récupérées / Cahors : Adéle et Marie Borie contre Jean-Marc Vayssouze-Faure.
Peut-être, tout simplement, de la culture, de la littérature, du patrimoine, tout le monde s’en fout...
Bref, je ne semble pas être le seul à n’avoir rien vu venir... Certains ont cherché le bon opposant à soutenir... Et Guy Debuisson est arrivé. Si cette candidature s’était imposée, peut-être Ellen Dausse et Roland Hureaux l’auraient soutenue ?... mais les deux sont partis sans l’attendre... dès juillet 2013...
Pour les deux, cette présence relève peut-être plus d’une nécessité personnelle que d’une logique de partis même s’ils ont recherché une investiture officielle : pour l’homme aux innombrables déconfitures électorales, à presque 66 ans, il semble que ce soit la dernière possibilité de briguer la mairie, quant à sa jeune aînée, 36 ans, ses deux premières expériences guère concluantes, aux cantonales et législatives, nécessitaient sûrement un coup de projecteur en vue d’autres échéances...
Guy Debuisson, fin septembre 2013, dans leur dépêche : « En premier lieu, je suis candidat de la Société civile, donc sans étiquette politique comme je l’ai déclaré ; je bénéficie ainsi du soutien de nombreux Radicaux de gauche cadurciens en plus du Centre, de l’UDI et de l’UMP.
D’autre part, j’envisage de déposer plainte en diffamation contre Madame Dausse, qui, afin de tenter d’exister, n’hésite pas à piétiner la vérité, ce qui est inadmissible quand on entend représenter des électeurs. Chaque Cadurcien sait d’ailleurs pourquoi et comment elle a sollicité l’investiture du National UDI.» Elle a piétiné quelle vérité ? Pourquoi et comment a-t-elle sollicité l’investiture du National UDI ? L’éminent, forcément éminent journaliste, ne le précisait pas.
Sans étiquette, ancien du PRG, il demanda l’investiture de l’UMP ! Avec le soutien d’une partie de UDI. Grand écart...
Le 3 octobre 2013, selon les informateurs, Guy Debuisson se serait prétendu « très serein. L’UMP et l’UDI du Lot me soutiennent. Ils se sont engagés de manière officielle à soutenir ma candidature. Et chacun sait que M. Hureaux et Mme Dausse n’ont aucune chance d’emporter cette élection.»
Ça chauffait. Peut-être tout simplement car Guy Debuisson, avocat toulousain, ancien membre du PRG (selon leur dépêche jusqu’en 2004) ne peut pas être l’homme de la situation... ne semble pas avoir plus de chance que les deux autres...
Donc il y eut une guéguerre à droite, du plus mauvais effet, pour le leadership : Ellen Dausse, Roland Hureaux et Guy Debuisson.
Ainsi, aucune candidature ne s’est imposée et Jean-Marc Vayssouze-Faure apparaît presque en position idéale... si le Parti Socialiste était parvenu au niveau national à masquer son véritable visage il repassait en douceur... puisque le « scandale lotois » reste accepté...
La seule question à poser à son sujet concernerait le Grand-Cahors où l’on attend sa position : "le fidèle et son maître" ou "le fidèle se rebiffe" ?
Un jour, en politique, on "tue le père". Chirac / Sarkozy constitue l’exemple le plus réussi. Mais naturellement, pour oser, il faut s’en sentir la force. Les plus nombreux attendent la mort du père pour s’imposer... Le cas Baylet / Pinel mériterait également une analyse...
Gérard Miquel présidera le grand Cahors après les municipales ?...
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Cahors, municipales 2014 : un enjeu départemental majeur de Stéphane Ternoise.
300 pages (papier), 21 photos qui éclairent ou font sourire...
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